Dans The Density Parameter, Mesarthim reprend tous les ingrédients qui font leur marque de fabrique : des pistes assez longues au rythme énergique (très palpable sur "Recombination" par exemple) et jouant sur des structures cycliques, un chant qui erre parmi les étoiles... Les ambiances sont prolifiques mais elles changent la donne : gracieuses, certes, mais surtout plus mélancoliques qu'autrefois. The Density Parameter est un peu la dernière bouffée d'oxygène que donne la combinaison spatiale. Jordan Vauvert
I was always intrigued by this group's choice of album covers, it isn't every day that you see high quality space photos in this genre despite the rise of "cosmic" black metal. But the music blew me away, this sounds like Austere took the atmospheric spacey route. (I will assume it's a coincidence that both bands are Australian) porcelainheart-
C'est une critique qui revient souvent au sujet du black metal atmosphérique de Mesarthim : leurs compositions à la guitare n'est pas des plus variées. Coma Wall pourra faire grincer des dents aux détracteurs du groupe australien car, en plus d'être un mur par sa durée, il l'est aussi par ses guitares mélancoliques assez ternes. Mais en réalité, avec les ambiances et la trance qui dérive vers la techno, Mesarthim pulvérise le mur aussi vite qu'il le construit. Un E.P. angoissé et libérateur ! Jordan Vauvert
The metal’s band revelatory new record crosses genres and styles, effortlessly combining seemingly incompatible subgenres. Bandcamp Album of the Day Apr 26, 2024
On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs... Jordan Vauvert